L’assurance vie : un paradis fiscal autorisé

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Le contrat d’assurance vie est une enveloppe juridique privilégiée qui peut se transformer en véritable petit paradis fiscal autorisé. Construire un portefeuille international, qui plus est équilibré, nécessite une excellente connaissance des marchés mondiaux. Afin de sélectionner un titre qui présente un potentiel de croissance en Chine ou en Inde, il va vous falloir faire preuve de patience, d’ingéniosité et de virtuosité.

Un véhicule d’investissement répond à ce problème de gestion : la sicav. Cette dernière, composée de titres de sociétés de ces pays ou de ces régions, est gérée par un établissement composé de gérants et d’analystes qui connaissent parfaitement la culture du pays, la réglementation de marché et les sociétés cotées sur ces places financières.

Autre avantage, non négligeable d’un point de vue fiscal : une sicav, ou un FCP, n’est pas figée dans sa composition, mais est en perpétuelle évolution. Cela sous-entend que son gérant va non seulement sélectionner les meilleurs titres pour les intégrer à son fonds, mais également les acheter ou les vendre au gré des opportunités, en prenant ses bénéfices sur une société, en réinvestissant sur une autre dont le potentiel sera plus important à l’avenir…

Le tout sans fiscalité sur les plus-values, puisqu’elles sont réalisées dans le cadre de la sicav ou du FCP. La gestion de ce portefeuille titres va également être optimisée sur le plan fiscal grâce au cadre privilégié de l’assurance vie. Cette forme de gestion – contrat d’assurance vie, plus gestion collective (sicav ou FCP) – vous offre d’infinies possibilités de diversification internationale.

Une des seules limites est de choisir le contrat approprié qui offre une importante palette de fonds et de gestionnaires.

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